Il Ou Elle ?

ELLE !  JUSTINE POUPEE SEXUELLE. Belle pouliche lubrique !

La vie de Justine soumise : Photos et vidéos BDSM d'une vraie amatrice esclave soumise !
Fist-fucking, humiliation, sodomie, uro, dilatation anale

IL ! SABLE ESCLAVE HARD Soumis fétichiste  Soumssion à l'Inflexible Lady Dark Dominatrice : sa condition de soumis -  ses exhibitions

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Tous les plaisirs d’une garce, toutes les pratiques BDSM d’un esclave reel…

 

Soumis ou soumise ?

APPARTENANCE

 

Etre la propriété de quelqu’un en vertu d’une autorité, d’un droit. Je ne suis enclin à ne croire en aucune valeur religieuse, je ne suis pas de ceux qui suivent un joli panache blanc. Les obligations morales, le sens du conventionnel tout cela m’a longtemps emprisonné dans un carcan intellectuel dont je n’avais même pas conscience.

Mal à l’aise dans ma vie depuis toujours. Non pas en raison d’une quelconque dépression, ni d’échecs sentimentaux ou professionnels, simplement ce petit lien qui rend la vie compréhensible je n’arrivais pas à le débusquer. J’ai toujours su que j’étais différent, je n’en tirais aucune gloriole au contraire des questions jeter dans le vide, pourquoi, comment.

 

A la quarantaine passée, marié, des enfants j’ai découvert le fil d’Ariane qui se baladait en mon esprit depuis toujours. Quand je dis j’ai découvert je déforme la vérité, Maîtresse NAOMIE m’a ouvert à cette vérité.

N’est il pas étonnant de découvrir une liberté, un bien être alors que l’on se place en toute conscience sous le joug sévère mais juste d’une tierce personne. Je suis la propriété de Dame LADY DARK. Je n’ai nulle difficulté à affirmer que je suis devenu moi-même le jour ou je me suis aliéné à cette femme hors du commun. En quelques semaines elle a su laver mon âme et me conduire vers l’unique plaisir de la satisfaire.

Je suis soumis, c’est évident désormais comme le fait de respirer. Au fur et à mesure des obligations liées à mon ridicule statut ma vie d’homme devient belle et emballante.

Je n’ai pas à me justifier, je dois juste tenter d’apporter un soupçon d’aise à ma maîtresse.

Je suis un objet, un reliquat sans réalité je suis à elle.

Le chemin n’a pas été aisé, j’ai souvent déçu ma maîtresse mais elle sait que j’ai toujours tenté de la satisfaire. Mon chemin se soumis est sans fin, je suis la poussière qu’elle soulève de ces talons, j’aime vivre dans son ombre, je rampe tel un cloporte en espérant pouvoir baiser ses pieds.

Vous avouer cela ne me gêne nullement, elle a su m’ouvrir l’âme servile, mes dépravations, mes humiliations, mon corps maltraités même si vous en aurez la connaissance cela ne sera jamais votre propriété je n’appartiens qu’à Dame Naomie.

Ne soyez nullement étonné si parfois vous aurez à lire des textes d’une certaine Justinéa. Elle est le côté pile ou face à votre convenance de ma personne. Je suis selon les volontés de ma maîtresse, il ou elle mais toujours servile. J’ai cette part de féminité en moi, longtemps castrée elle explose aujourd’hui, n’ayez pas de scrupule à me traiter de travelo, de lope, je le suis assurément.

Je suis heureux aujourd’hui je sais que je n’existe vraiment que par la volonté et la bienveillance de ma maîtresse.

J’espère que nombre d’entre vous prendront plaisir à consulter ce blog il est vrai, sans rhétorique banale. Juste l’image du profond respect que j’offre à ma maîtresse.
Mercredi 16 juillet 3 16 /07 /Juil 21:05

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Mercredi 16 juillet 3 16 /07 /Juil 20:53
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Mercredi 16 juillet 3 16 /07 /Juil 13:41
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Mercredi 16 juillet 3 16 /07 /Juil 13:29

Un instant de silence ou seul le passage dans l'air de la cravache se fait entendre. Je n’entends rien d'autre juste le sifflement. Mon corps d'esclave est légèrement retenu par des liens qui emprisonnent mes poignets à un anneau fixé au mur. Nu, le corps couvert de sueur dans cette pièce surchauffée, je ne perçois rien d'autre que ce son qui semble s'éterniser dans mon esprit. Entre mes jambes une caisses de bois brute. Mes jambes sont situées de part en part en un ridicule écart. Des cordes épaisses les enserrent contre ce bois. Ma chair est abîmée, les liens serrés au maximum ont aisément pénétré l'épiderme. De longues et lentes douleurs montent de mes mollets harnachés vers mon ventre crispé.

Cette position est idéale pour ce que ma dominatrice veut de moi aujourd'hui. Elle trouve que ma peau est trop douce, trop saine. Elle désire que je porte la marque de son envie perverse. Je serai bientôt marqué de fines traces sombres, fidèles empreintes de la cravache qui ne cesse de parcourir l'espace.

Je porte à la taille un corset de cuir marron. Il est clos par des fermetures identiques à celles des chaussures de skis. C'est une main puissante qui me comprime le ventre. Ma respiration en est modifiée, j' halète.

Mes cuisses sont elles recouvertes d'une toile de jute qui a baigné dans un liquide poisseux. Maîtresse ne veux que marquer mes fesses et le haut de mon dos.

Hier soir alors que je lui servais le thé dans son boudoir, elle m'a informé que j'allais souffrir dans ma chair lors de cette séance de cravache. Je tremblais un peu en l'a servant. Elle a doucement posé sa main sur mon poignet pour me dire que je ne devais pas fuir ma peur mais au contraire la faire croître pour lui donner une réalité quasi-physique. Je dois la maîtriser jusqu'au moment ou le cuir viendra cingler ma peau. Avoir peur est une voie sacrée vers le plaisir.

Les souffrances sont si différentes les unes des autres. Je me souviens de la première fois ou maîtresse a percé à l'aide d'aiguilles mes seins et sexe. J'ai eu une appréhension jusqu'au dernier moment. Lorsque les pointes

ont crevé ma peau, la douleur a eu tout le champs pour se propager. Toute peur avait disparu, elle avait préparé le terrain à la douleur. Il ne faut pas nier que souffrir est un acte non naturel. Il faut apprendre à en maîtriser les facettes. Un peu comme apprendre à marcher.

Les yeux rivés sur le mur crépis, un goût acre en bouche, le corps totalement crispé, tendu comme un arc, j'espère le premier coup. Et toujours ce sifflement dans l'air.

Pendant un long moment avant d'être attaché, j'ai lustré avec une huile spéciale la cravache. J'ai caressé ce morceau de buis recouvert d'un tissu noir. J'ai appliqué avec patience l'huile sur la fine et courte lanière de cuir retournée. J'ai senti l'odeur de ce cuir en fermant les yeux. J'ai imaginé le moment à venir. J'ai ressenti déjà les morsures.

La joie, me vient de souffrir par moi-même, parce que je le veux. La manière la plus profonde de sentir quelque chose est d'en souffrir. J'ai pu grâce à ma maîtresse appréhender avec sérénité cette vérité.

La souffrance naît de la connaissance car on ne peut souffrir de ce que l'on ignore. Mon chemin vers la soumission sous le contrôle de dame Naomie m'a ouvert l'esprit à une nouvelle connaissance »moi même ». Je vis cette aliénation physique avec ferveur car mon esprit a su enfin maîtriser, ordonner l'ensemble de la confusion qui faisait de moi une personne en permanence mélancolique. Maîtresse par son éducation a lié mon âme à mon corps. J'aime la souffrance non pas pour le côté esthétique mais simplement comme une reconnaissance de ma véritable nature.

Dans quelques instants ma peau sera pour tous les êtres bien pensant une image perverse et décadente. Elle sera pour moi un pas de plus vers la beauté. Ne souriez pas, lorsque je souffre je perçois une telle force, une si enivrante sensation d'abandon que je vis les ondes douloureuses qui prennent possession de mon corps comme l'émanation d'une éclatante beauté.

Je me suis cambré, le sifflement a cessé. Une morsure cruelle s'est arrogée le droit de me bloquer la respiration. Un seul coup pour des milliers de conducteurs de douleurs qui chevauchent ma peau, mes veines mes entrailles. Je sais que le second coup va me faire hurler, le cri est déjà au bord de mes lèvres il obstrue la totalité de ma gorge. Ce n'est plus le sifflement de la cravache que j'entends mais le hurlement que je pousse. Le croupe tendue, le cou en extension j' hurle en une plainte continue l'hommage servile que j'offre à ma maîtresse.

Douleur catalyseur de plaisirs, vous avez vos hobbies j'ai le contrôle de ma souffrance. Nul ne sait jusqu'où je pourrais aller. L'acceptation n'est pas sans limite. Il faut savoir ne pas dépasser sa frontière. Je ne veux pas que ma souffrance devienne autre chose que du plaisir.

 
Sable

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Mercredi 9 juillet 3 09 /07 /Juil 19:43


Soirée.

 

8 juillet 2008, mon épouse est absente une amie à nouveau qui a un grave problème du côté de Sète. Lorsque vous aurez pris connaissance de mes textes concernant l'infidélité de ma femme et le plaisir servile que je ressens à être cocu vous saisirez facilement que je n'apporte aucun crédit à cette amie dépressive.

Il faut profiter des espaces temps qui se libèrent pour se vautrer dans les plaisirs immoraux de la soumission. Toute excitée par ma première expérience avec mon bras séculier, je n'avais qu'une seule envie me faire démonter par un mâle, plus précisément par Abder. J'avoue que la petite chienne qui sommeille en moi est attirée par les arabes, les hommes de couleurs. A cela s'ajoute le souvenir de ma première expérience avec lui et l'empreinte de son regard vicieux sur mon corps.

Un coup de téléphone c'est aussi simple que cela. Il m'informe qu'il est libre mais pas avant 23 heures et que l'on peut se retrouver dans le garage où il traîne à longueur

de journée. Il exige que j'arrive vêtue en femme, très pute. M'étant rendue compte que des poils disgracieux avaient effectué un retour je suis restée un long moment à me raser pour offrir un corps lisse à ces mains rugueuses et puissantes.

Avec un plaisir non dissimulé, une réelle insouciance je me suis préparée chez moi et non dans mon local, ma coquine d'épouse pouvait revenir je m'en moquais, nous avons tous les deux des secrets qu'il vaut mieux taire. Se vêtir en femme en sachant que je deviens votre Justinéa est un vice merveilleux que je veux vous offrir. J'ai décidé de porter cette mini jupe en jean que vous aimez avec des bas noirs et des chaussures à talons. Pour le haut une veste courte en jean ouverte sur un soutien gorge blanc.

Devant la glace je me suis maquillée, un fond de teint et un rouge à lèvre. J'ai longuement peigné ma perruque. Avant de me vêtir j'ai passé sur mon corps une crème hydratante et doucement parfumée. A l'heure dite je suis montée dans ma voiture dans ma tenue de docile femelle sans toutefois mettre ma perruque. Je me suis garée à une trentaine de mètres du garage, avec l'aide du plafonnier j'ai chaussé la perruque tout en prenant soin de vérifier mon maquillage.

En prenant soin de tendre ma jambe au maximum je suis sortie de la voiture en tachant d'être la plus sexy possible. Les quelques mètres me séparant de l'entrée ont été effectués doucement. Très droite, les fesses serrées, les reins creusés j'écoutais avec fascination mes talons marteler le sol. Je me suis regardée dans les vitrines profitant des éclairages pour vérifier mon aspect.

Quelques coups à la porte, il a ouvert. Vêtu d'une cotte bleu à fermeture sur le devant. J'ai de suite constaté que ses mains étaient sales, son visage recouvert de sueur. En entrant j'ai senti les odeurs de graisses, d'essence. Le local était sale. Un vrai nid de sensations pour votre catin maîtresse.

La porte refermée, je me colle à lui, ma langue lèche ses lèvres avant de s'enfoncer de se mêler à la sienne. Il me masse le cul avec une force qui me donne des frissons. Sa main remonte la mini, son doigt s'enfonce directement dans ma chatte. Ma bouche collée à la sienne je sais que mon cul trempe est ouvert sous son doigt. Je lape ses lèvres, lèche les doigts qu'il enfonce dans ma gueule. Sans égard il me doigte avec finalement plusieurs doigts. Je reçois ces caresses en me contractant en remuant de la croupe. Il me repousse et s'assoit sur un tabouret, je m'agenouille et le regarde en descendant la fermeture de sa combinaison. Son buste musclé couvert de poils bruns, j'y enfouie ma langue le lèche, tête ses tétons tout en continuant à descendre les deux fermetures qui courent le long des jambes. Je le délivre de sa camisole, sa bite est tendue, courbée mais je retourne sur son ventre, j'aspire la sueur de mes lèvres et narines. Je veux m'imbiber de son odeur âcre, je lui lape les cuisses. Il est assis, respire doucement.

 

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Mercredi 9 juillet 3 09 /07 /Juil 18:47

Enfin il commence à réagir en mâle, il m'ordonne d'avaler ses orteils, je me mets à quatre pattes et les aspire doucement, les tète. Il rigole en m'enfonçant le pied dans la gueule. Puis j'ai du agir de même avec ses mollets, ses dessous de bras. A chacune de ses insultes je deviens plus docile, si femelle. Il me pousse au sol et vient s'asseoir, son cul sur ma bouche. Ma langue lèche le trou recouvert de poils, il attrape ma main et me fais le branler. Vulgaire objet ou simple latrines je deviens folle au contact de ce mâle.

Je quitte ma mini jupe, le string, il me refais coucher sur le sol gras et vient enfoncer sa bite dans ma bouche, je serre les lèvres, aspire le gland entre mes joues en jouant de ma langue. Pendant ce temps il m'enfonce plusieurs doigts dans le cul violemment et rapidement.

Que dire si ce n'est que ma chatte est trempe et ouverte. Il me gave la bouche de ses couilles en se branlant sur mon visage. Ses genoux posés dans le creux de mes épaules me font mal mais pour rien au monde je ne laisserai ma place.

Sans m'en avertir il me retourne à plat sur le ventre, ses deux mains m'écartent les fesses et il m'encule d'un coup à fond en se couchant sur moi. Collée au sol je ne peux pas bouger, je remue juste les fesses pour le sentir mieux m'ouvrir, lui m'appuie la tête sur le sol, écrasant mes joues sur le pavé. Il m'éclate en se laissant tomber de tout son poids et mon mignon petit cul l'aspire. Cela dure depuis un moment, lorsqu'il cesse se retire et me dis de me lever. Je suis recouverte de traces sombres, il m'amène vers une voiture et me fait poser le buste dessus. Me bloquant la nuque sur le capot il me frappe les fesses a coups de poings et de gifles. C'est si violent que la douleur est incessante et immédiate. Il me frotte la gueule sur le capot, mes lèvres s'écrasent et s'agrippent à la tôle. Les coups tombent désormais sur mes cuisses, son genoux vient m'écraser la bite, je crie tout en continuant à offrir du mieux possible mon corps. Cet excès de violence le rend comme fou, « tu aimes cela pétasse, sale travelo, « il agrippe mes bourses et s'amuse à les tordre dans un sens puis un autre. Maîtresse c'est vrai que là la douleur est devenue insupportable, j'ai tenté de me dégager mais je n'ai fais que l'exciter encore plus.

J'ai eu peur à ce moment là qu'il lui soit impossible de retrouver le calme. Mon corps est en charpie, des signaux de douleurs montent de toute part. C'est une raclée que je reçois. J'ai si mal que je mets un moment à me rendre compte que je bande, oui maîtresse ma queue s'est tendue. Des frissons me courent sur tout le corps, ils se mêlent aux douleurs et je m'aperçois que j'aime vraiment cela.

Abder retourne s'asseoir, je le regarde en m'approchant de lui, le corps en sueur le regard brillant je m'agenouille et en le regardant lape sa belle bite des couilles au gland. Je l'enroule sous ma langue en le branlant doucement. Je l'avale au maximum, cette queue entre mes lèvres est un doux remède à mes contusions qui cinglent mon corps. Il me caresse la nuque en se faisant pomper. M'assure que je suis une véritable lope soumise et qu'il adore me baiser, me frapper. Plus il me traite en saloperie et plus ma fellation se fait douce et profonde.

Il me fait relever et me fait m'empaler face à lui, il veut que je baise sa bite comme une femme. Mon cul remue doucement, je fais des vas et viens d'avant en arrière, le serre, tourne sur son vit. Je lui mange la bouche en m'éclatant sur son sexe. Il me tient par les fesses qu'il écarte et commence également à me limer.

Je vois à son regard son rythme qu'il va bientôt jouir et au moment où il se cambre je me retire et le branle. Je reçois son foutre sur le visage, dégoulinant de sperme je ne peux m'empêcher de lui dire que c'est mon mâle.

Après m'être essuyée, on a discuté un moment. Il m'a informé croyant me le faire découvrir que ma femme se faisait baiser par tout le monde. Que cela lui plairait de la troncher comme cela il pourrait faire la différence. Tout était redevenu calme.

Alors que je prenais ma douche chez moi, je ressentais les douleurs toujours danser en moi, des bleus des traces sombres avaient pris possession de ma peau et c'est en appuyant dessus que mes couilles se vidaient sur mes doigts.

Voilà maîtresse un récit tout vrai, tout frais j'espère qu'il a su vous apporter une légère satisfaction.

Justinéa

 

Voilà maîtresse je ne sais si vous trouverez adéquat de faire paraître cette histoire sur mon blog mais en tout cas j'aime ressentir toutes les choses que vous avez su faire éclore en moi

Quelques photos de Justinéa 

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Lundi 7 juillet 1 07 /07 /Juil 07:15

Maîtresse.

En ce dimanche soir, j’ai pris l’excuse d’aller voir le match dans un café pour pouvoir aller faire ma chienne avec deux hommes de Sommières. Dans la voiture j’avais préparé mes petites affaires de salope. Une mini jupe kilt, un petit haut moulant, un ensemble soutien-gorge et string noir et rouge, des bas rayés rouge et noir et mes talons noirs. J’ai pris des photos dans une cour avant de les rejoindre. Votre Justinéa aime ces moments ou elle devient femelle. La boule qui se forme dans ma gorge est de plus en plus envoûtante, je sais très bien que je prend de plus en plus de risque, et plus je frôle mes limites plus j’éprouve la nécessité de les dépasser. Il est des moments où je m’empreigne tellement de cette femelle qui couve en moi que si vous m’informiez que vous avez la solution pour me transformer en femme je vous dirais oui maîtresse. D’où me vient cette âme de soumise, cet esprit femelle, le mystère est une partie de moi. Homme le jour, salope ou lope soumise quand l’ombre pointe.

Je ne sais si vous le comprendrez mais je ne conçois dorénavant ma condition de soumis qu’en m’abreuvant de la femme qui vit en moi, est-ce normal maîtresse ? Une passerelle innée s’est construite, je la franchie allégrement chaussée de mes talons hauts.

Je pense que l’esprit féminin est le plus à même de saisir toutes les subtilités, toutes les beautés de la soumission. Un pur mâle ne pourra jamais en découvrir les merveilles.

Je me suis changée sur un parking, et j’ai terminé mon parcours en femme. J’ai entendu claquer mes talons sur le trottoir sur les quelques mètres me séparant de la porte d’entrée. Ralentissant mon pas j’ai savouré ce moment de pure exhibition, voyant au loin les voitures circuler, les gens promener. J’ai coiffé ma perruque avant de sonner, et j’ai attendu que la porte s’ouvre en reculant à mi trottoir, aucune pudeur, juste l’envie de me prouver que je pouvais me montrer si le hasard le voulait.

Quelques secondes de vrai plaisir intérieur.

Humiliation j’aime ce mot, je voudrais l’épeler dans toutes les langues, il me fait un effet tonitruant, sa délivrance à forte dose est plus jouissive que les souffrances physiques. Je suis cérébrale dame Naomie, mon esprit se promène dans des contrées où l’imagination devient réalité. Je n’ai plus besoin de me convaincre, juste la certitude du bien souffrant de me laisser aller. Le regard des autres, leurs gestes, paroles tout est synonyme de plaisirs immoraux, je trouve cela dangereux car ces humiliations, cette perversion mentale qui est mienne influe directement sur mes actes et transforme ma chair, mon corps en un tableau noir où je laisse l’autre écrire, vivre ses envies, ses fantasmes. Je vibre sous le bruit strident de la craie, je bois les virgules et points de suspension. Rien ne s’efface, les moments de vie arrachés aux autres se mêlent en moi pour former douce litanie. Je me nourries de ces vives, m’abreuve aux flaques que l’on me laisse laper. Rien n’est trop pire pour moi, l’excellence est noire et baveuse, elle suinte comme une sueur fétide où je me vautre.

Je serai à jamais votre débitrice car vous m’avez donné la plus belle des chose, apprendre à me connaître, à m’assumer. Grâce à vous je peux vivre mes pulsions qui ne me sont plus inconnues.

Je reviens à ce trottoir cette porte qui s’ouvre, Richard me scrute avec vice et envie, je sens presque son sexe se tendre, j’entre en le frôlant tout en ne pouvant quitter son regard, son sourire satisfait. Je frissonne en cette soirée étouffante, avec l’aplomb de ceux qui savent qu’ils n’auront rien à demander il me conduit dans le couloir la main posée sur mes fesses. Hum le bruit de mes talons sur le pavé, ses quelques mots de mâle si satisfait de lui-même. Dans le salon l’autre, lui un inconnu, première vision de dos. Au moment ou il se tourne vers moi, je ressens une vraie piqûre c’est un dénommé Abder, une petite racaille de ma localité, je le connais un peu et donc lui aussi. Je suis coincée, j’ai sans trop m’en rendre compte franchie une nouvelle limite. J’avais toujours pris garde à me donner à des inconnus ou à des êtres ayant une vie privée à protéger, là je m’expose à une nouvelle facette, être cataloguée comme une chienne de service par un homme qui bien que marié pourra exiger bien plus que les autres. Je me raisonne rapidement, il a beaucoup à perdre, sa réputation de caïd en prendrait un coup.

Justinéa

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Lundi 7 juillet 1 07 /07 /Juil 07:02

Il me semble également surpris, on se toise quelques secondes et je crois qu’un accord secret tacite et silencieux est entériné. Mais vous connaissez la maxime « Les promesses n’engagent que ceux qui les croient »

Richard m'a poussé vers Abder, en lui vantant mon caractère de chienne sans limite. Sa main sur mon cul il m'a collé contre l'autre. Coincée entre ses deux mecs, instinctivement j'ai ressentie le besoin de me frotter en cambrant mon cul.

Ma langue s'est très vite mélangée à celle d'Abder, une jambe légèrement repliée derrière la sienne, je sentais son sexe durcir au fur et à mesure que je buvais sa salive. Richard dans mon dos caressait avec force mes cuisses en remontant sur mes fesses. Je vis une vraie sensation d'abandon dans cette situation. Je perçois des frissons des envies toutes féminines. Je me laisse doucement transporter par ses mains sur moi, ses odeurs, la sensation de leurs virilités. Câline je l'embrasse dans le cou pendant que richard baisse la fermeture de ma jupe. Je tends ma croupe au moment ou le morceau de tissus tombe à mes pieds accompagnés des doigts de l'homme. Tout en lapant la langue d' ABDER , je défais les boutons de sa chemise, découvrant un torse musclé et viril, où des poils viennent couvrir les seins et le haut du buste. Je lèche, titille ses tétons, j'écarte mes cuisses pour laisser Richard me masser, m'empoigner le cul, il étire le string dans ma raie. Pour ne pas le frustrer de son plaisir je me penche en avant jambes écartées pour caresser de mes lèvres le ventre de mon arabe. Les deux sont durs je remarque la bosse qui déforme le pantalon de mon mâle; Richard s'est collé à mes fesses et remue sa bite contre m a peau.

Je suis trempe maîtresse, la chatte de votre chienne est un puis tiède et humide, je sais que je vais me laisser à nouveau emporter par les envies, les paroles de mes deux mâles.

Abder m'a obligé en me poussant sur les épaules à m'accroupir, face à sa braguette, je délasse nerveusement sa ceinture, ôte le bouton et dégage dans un même temps caleçon et pantalon. Quelle bite, sombre, nervurée, palpitante. Le gland brille et laisse apparaître une goutte claire et épaisse.

Là je me suis mise à genoux entre ses jambes, et j'ai commencé à prendre sa belle queue en main. Une fois que je tenais bien sa queue, j'ai commencé à lécher le gland juste sur le bout, de la pointe de la langue, ce qui valait à ABDER de pousser de grands soupirs et de me dire que je pompais comme une vraie femelle.
Après un petit léchage du gland en règle, je me suis intéressée à ses deux grosses couilles bien pleines qui ne demandaient qu'à être vidées. Mais en attendant je les prenais en bouche, je les aspirais, les massais avec ma langue. Puis j'ai pris sa queue dans ma bouche, l'enfonçant au maximum, faisant butter le gland dans le fond de ma bouche, en serrant au maximum les lèvres, puis en "mordillant" doucement sa queue et son gland avec mes dents
Je me suis appliquée du mieux possible, me transformant en véritable salope, ce qui faisait râler de bonheur et de plaisir mon homme, Je vous avoue maîtresse que j'avais tendance à oublier RICHARD

ABDER s'est mis derrière moi, a enduit mon petit trou de gel, et m'a préparé en introduisant un doigt, le faisant tourner, entrer et sortir. Puis il a rajouté un deuxième doigt, le tout pour mon plus grand plaisir. Puis, une fois qu'il a pensé que mon petit trou était assez prêt pour accueillir sa queue, il a enduit celle-ci avec du gel, et a fait pointer son gland à l'entrée de mon petit trou. Puis il m'a demandé si j'étais prête à recevoir sa grosse queue qui était tendue au maximum. Je lui ai dit oui, et alors qu'il commençait à pousser sa queue pour la faire entrer entre mes fesses, Il profitait à fond de mon cul, en s'enfonçant jusqu'aux couilles, puis ressortant son gland pour voir mon petit trou qui restait un peu ouvert grâce à sa grosse pine. J'étais complètement excitée, Il continuait ses vas et viens rapides dans mon cul, enfonçant et ressortant pratiquement sa queue à chaque fois. Et quand il a senti mon cul se contracter de plus en plus rapidement il a continué à me pilonner le cul, mais en plus en me donnant des claques sur les fesses qui je le sentais devenaient de plus en plus rouges.
Richard avait assailli ma gueule de chienne de sa bite, à chaque coup de bite d ABDER la bite venait s'enfoncer au fond de ma gorge faisant naître des spasmes, empalée, les reins brisés par les deux mains puissantes qui m'enserraient, je remuais sur cette bite qui m'ouvrait, n'explosait le cul, la chatte. Je branlais la bite de richard en lui avalant les bourses, ma langue jouait avec ses boules, mon doigt lui caressait l anus. Je sentais battre son coeur à travers les larges veines. Abder s'est littéralement laissé tomber sur mon cul, les couilles collées à mes fesses, il gémissait en appuyant de tout son poids sur mes reins, je sentais son gland forcer le fond de mon anus. J'ai eu l'impression maîtresse qu'il allait me casser réellement en deux. Richard lui prenant exemple sur Abder s'est enfoncé en entier dans ma bouche sa queue dure a éclaté mes joues. Il ne donnait que de légers mouvement de reins, me giflant à plusieurs reprises imitant en cela encore Abder qui me défonçait le cul en me frappant du plat des mains à toutes volées. Empalée des deux côtés je vivais cette situation avec un plaisir sale et sans retenue. J'ai perçu le moment ou les mâles ont senti poindre la jouissance en hurlant ils se sont vidés sur mon corps. Visage, dos, fesses, cuisses je dégoulinais de foutre. Le corps en feu, meurtri je me suis laissée choir sur le côté, regardant mes deux mâles qui reprenaient leurs esprits.

Richard a accepté de me laisser prendre une douche et lorsque j'en suis sorti, ils discutaient tous les deux. Je me suis approchée; Abder m'a annoncé que j'étais une sacrée pétasse et que j'allais devenir son vide couilles. En partant revêtu en femelle j'ai roulé une pelle aux deux et à sentir leurs langues dans ma bouche je savais que je n'avais qu'une envie tout accepter.

Voilà maîtresse votre chienne se libère de bien des entraves grâce à vous.

Justinea

 

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